“La clé du succès est de croire en ce que vous faites, de vous efforcer d’être sincère et réel. »

Il ne faut que 10 secondes pour s’apercevoir que sous la première apparition d’un garçon humble, il y a quelqu’un de spécial, de différent et unique.


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Ce sentiment grandit lorsque nous vérifions que chaque réponse de Palomo Spain est sincère et qu’il n’a pas de préambule. Alejandro Gómez Palomo, vrai nom du designer, n’a aucune face cachée ou quoi que ce soit à cacher. Il reconnaît être ravi de lui-même et apprécie sa présence masculine. C’est pourquoi, lorsqu’il se regarde dans le miroir, il se sent « très heureux et fier de lui-même ».

Le créateur de Cordoba, né à Posadas, nous assure que la clé pour avoir réussi en seulement deux ans, depuis la présentation de la première collection Palomo Spain à Madrid en 2016, est parce qu’il « croit en ce qu’il fait, de s’efforcer, d’être sincère et réel. »

Sans aucun doute, la volonté est un excellent outil, mais Palomo semble venir avec une étoile, comme si son destin était clairement écrit.

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Ce jeune homme, attiré par la garde-robe de sa mère depuis son enfance, a grandi au sein d’une famille tolérante et sans préjugés de genre. La sexualité n’a jamais été un problème et, aujourd’hui, cette liberté se traduit dans son style et détermine son empreinte.

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Bien qu’il soit un enfant unique, ses parents ne l’ont jamais gâté. Ils ont toujours exigé de bonnes notes; Ils lui ont enseigné la valeur des choses et l’importance des efforts pour atteindre tout objectif.

Avec ces directives, à 18 ans, Alejandro se rend à Londres où il apprend un anglais parfait et que l’exclusivité de l’être humain est en lui-même. Depuis lors, Palomo gagne des adeptes grâce à un style qui identifie des personnes de tous types, conditions, âges et sexes.

Il reconnaît que Londres a fait de lui un adulte et, de nos jours, cela fait partie de son ADN. Paris, une autre de ses villes préférées, la ressent comme le cœur de la beauté et la définit comme le centre névralgique de la mode.

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Alejandro, qui n’a que 27 ans, se sent chanceux car des célébrités comme Beyonce, Rosalía ou Rossy de Palma s’habillent de motifs et reconnaissent que voir « The Beckham » avec leurs tenues serait très amusant.

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Mais sans aucun doute, ce qui surprend vraiment le designer, c’est la valeur thérapeutique de sa création. De nombreux jeunes victimes de bullying ou de harcèlement, ont trouvé chez ce designer le discours qui donne un sens à leur vie. Pour Palomo, c’est quelque chose à apprendre pour donner une valeur à son travail.

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Dans Vogue América, ils le définissaient comme le lien entre le futuriste et le mélancolique, avec auquel tout le mond peut se sentir identifié. Pour Alejandro, ce qui l’intéresse vraiment, c’est que « les gens ordinaires puissent porter leurs vêtements ». C’est peut-être une des raisons pour lesquelles le créateur accorde une grande valeur à l’initiative « Made to Mesure » de Silbon. Un concept renouvelé de sur mesure avec lequel la marque s’est engagée à apporter la qualité et l’exclusivité de la couture, à tous les types de personnes.